La psychanalyse du fer

A vous de voir.

jeudi 6 octobre 2011

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En essayant de piéger l'infini, l'homme inventa la roue.
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Maintenir les tensions aux limites de la rupture

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La tension et le déséquilibre une fois provoqués, le travail consiste à trouver et à mettre en œuvre la technique qui permettr...
mercredi 21 septembre 2011

Merlin fils des dieux et des diables

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Extraits du texte lu pour le vernissage de l’exposition avec les peintres T. Loulé et A. Le Cozanet dans la chapelle romane de La Gardes (...
mardi 5 juillet 2011

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mercredi 15 juin 2011

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mercredi 31 mars 2010

C'est la poésie qui nourrie l'homme

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L’arbre monte vers le ciel pour en capter la poésie et la lumière, la pureté et la beauté. De par son tronc transite le merveilleux, puis de...
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Goulven
La plaque de tôle est une comédienne à qui je dois faire dire tout ce qu'elle a à dire et qu'on ne lui a jamais demandé. Il me faut la séduire par la ruse et la douceur. Je n'impose jamais ma vomonté à la matière, je la regarde, l'écoute, la caresse, perçois sa force et sa faiblesse, sa force et sa fragilité. je ne dessine ni ne construit une préalable maquette, la forme finale de l'objet que l'on nomme sculpture est l'expression de ma relation à la plaque de tôle qui peut se résumer ainsi; je provoque une faiblesse sur l'envers du décor (sillon creusé par la disqueuse), puis je fais ployer le tôle (à l'aide de cables d'acier) de façon à ce que la courbe infinie, libre et émergeante, partage et donne vie à l'espace; les points de soudure solidifient l'objet. Comme dans une belle machine, rien d'inutile, rien de décoratif. La rudimentarité de l'outillage (un poste soudure à l'arc, une disqueuse), provoque quelques accidents de parcours, anecdotes évitant à la sobriété de sombrer dans l'aridité. Goulven à Toulon le 06/02/2020 goulven4et3@gmail.com
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