mardi 17 novembre 2009
lundi 22 juin 2009
dimanche 14 juin 2009
mercredi 3 juin 2009
Démocratie et pollution
L’automobile c’est un peu comme la démocratie. Merveilleux outil de liberté porteur des rêves les plus sublimes, fruit du génie de l’occident qui au fur et à mesure qu’il s’éloigne du divin, dompte la matière, organise la société pour le plus grand bien être de tous.
Puis l’idéal devient peu à peu une nécessité envahissante et polluante, un produit commercial que l’on exporte, dont on vante les qualités par la publicité, que l’on impose par la force et la violence.
De par la sédentarité qu’elle permet, voir qu’elle impose, l’automobile favorise l’obésité, l’enlaidissement des populations et ruine la santé publique par les accidents qu’elle provoque. Alors il faut bien restreindre les libertés par de multiples interdictions, par une surveillance accablante, par des taxes financières prohibitives.
Les idéaux ayant été détruits par le fait même qu’ils se sont matérialisés puis vulgarisés, il est urgent d’en rêver de nouveaux. Sans cela il nous faudra accepter la victoire des forces réactionnaires et le retour à la carriole. Goulven 2009
Puis l’idéal devient peu à peu une nécessité envahissante et polluante, un produit commercial que l’on exporte, dont on vante les qualités par la publicité, que l’on impose par la force et la violence.
De par la sédentarité qu’elle permet, voir qu’elle impose, l’automobile favorise l’obésité, l’enlaidissement des populations et ruine la santé publique par les accidents qu’elle provoque. Alors il faut bien restreindre les libertés par de multiples interdictions, par une surveillance accablante, par des taxes financières prohibitives.
Les idéaux ayant été détruits par le fait même qu’ils se sont matérialisés puis vulgarisés, il est urgent d’en rêver de nouveaux. Sans cela il nous faudra accepter la victoire des forces réactionnaires et le retour à la carriole. Goulven 2009
lundi 25 mai 2009
Erreur première.
Fragmentation aléatoire d’un rectangle par la brisure d’une plaque de verre. La courbe reprend ses droits sur la droite. A partir d’un fragment, c'est-à-dire d’une erreur première, construction suivant une technique respectant des règles strictes et précises, d’une forme sculpturale en fer. Liberté, contrainte. Les chevaliers continuent leur errance. Tension déséquilibre, mouvement.
Goulven 2008
vendredi 15 mai 2009
lundi 11 mai 2009
samedi 25 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
mercredi 8 avril 2009
vendredi 3 avril 2009
Lettres aux parents
lundi 2 mars 2009
lundi 16 février 2009
RUPTAGAAN 18
LA RUPTURE DE LA CONTINUITE.
De chaque coté de la ligne brisée, de la rupture, de la rupta, de la frontière, de la route, deux univers semblables et opposés surgissent, deux vies, deux sexes, deux contrées, qui tendent à se réunir, créent et procréent, se désirent et se détestent, s'aiment et se haïssent.
LA CONTINUITE DE LA RUPTURE.
Orient occident Bosphore muraille de chine. Afrique Europe chaîne des Pyrénées. Homme femme. Peu à peu la frontière s'es tompe. Bonheur douceur quiétude, puis, ennui décadence avachissement tristesse dépression, jusqu'à la suivante et régénératrice rupture.
Goulven 2009
MONOLITHE
Au sommet d'un escalier sans fin, dans un écrin bleu essuyé, rouge délavé et azur, serti de vide, se dresse le Monolithe, tel un monument brut en suspension.
BRISURE
Traversé d'un trait par une brisure, telle une faille sansdébut, une faille sans fin, des points de suture accompagnent l'intime du Monolithe
AGALMA
Obscurité du désir : du sommet de l'escalier, au seuil de la demeure de Suzette et de Rudy Ricciotti , le Monolithe fait énigme et interroge le visiteur sur la méconnaissance de cet objet...
VACILLEMENT
Le Monolithe fait trou, Le Monolithe fait seuil. Une pression légère : le Monolithe pivote et livre passage vers la demeure tout en obstruant l'accès. Avec le Monolithe, GOULVEN marque au feu de son travail le secret de la Passion dans son oscillation entre Eros et la Thanatos.
Vincent BRUNEAU
LA RUPTURE DE LA CONTINUITE.
De chaque coté de la ligne brisée, de la rupture, de la rupta, de la frontière, de la route, deux univers semblables et opposés surgissent, deux vies, deux sexes, deux contrées, qui tendent à se réunir, créent et procréent, se désirent et se détestent, s'aiment et se haïssent.
LA CONTINUITE DE LA RUPTURE.
Orient occident Bosphore muraille de chine. Afrique Europe chaîne des Pyrénées. Homme femme. Peu à peu la frontière s'es tompe. Bonheur douceur quiétude, puis, ennui décadence avachissement tristesse dépression, jusqu'à la suivante et régénératrice rupture.
Goulven 2009
MONOLITHE
Au sommet d'un escalier sans fin, dans un écrin bleu essuyé, rouge délavé et azur, serti de vide, se dresse le Monolithe, tel un monument brut en suspension.
BRISURE
Traversé d'un trait par une brisure, telle une faille sansdébut, une faille sans fin, des points de suture accompagnent l'intime du Monolithe
AGALMA
Obscurité du désir : du sommet de l'escalier, au seuil de la demeure de Suzette et de Rudy Ricciotti , le Monolithe fait énigme et interroge le visiteur sur la méconnaissance de cet objet...
VACILLEMENT
Le Monolithe fait trou, Le Monolithe fait seuil. Une pression légère : le Monolithe pivote et livre passage vers la demeure tout en obstruant l'accès. Avec le Monolithe, GOULVEN marque au feu de son travail le secret de la Passion dans son oscillation entre Eros et la Thanatos.
Vincent BRUNEAU
lundi 12 janvier 2009
jeudi 8 janvier 2009
Heureusement que veille Sainte Russie
On ne dit jamais ce que l’on pense, on dit ce qui va permettre à la relation que l’on instaure par la conversation avec un quidam, d’aller dans le sens que l’on souhaite. On souhaite construire ou détruire, attirer ou repousser, caresser ou piquer, mettre en valeur ou mettre plus bas que terre, faire évoluer ou faire régresser……….
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