Les ronds points tuent les carrefours.
mercredi 8 avril 2009
vendredi 3 avril 2009
Lettres aux parents
lundi 2 mars 2009
lundi 16 février 2009
RUPTAGAAN 18
LA RUPTURE DE LA CONTINUITE.
De chaque coté de la ligne brisée, de la rupture, de la rupta, de la frontière, de la route, deux univers semblables et opposés surgissent, deux vies, deux sexes, deux contrées, qui tendent à se réunir, créent et procréent, se désirent et se détestent, s'aiment et se haïssent.
LA CONTINUITE DE LA RUPTURE.
Orient occident Bosphore muraille de chine. Afrique Europe chaîne des Pyrénées. Homme femme. Peu à peu la frontière s'es tompe. Bonheur douceur quiétude, puis, ennui décadence avachissement tristesse dépression, jusqu'à la suivante et régénératrice rupture.
Goulven 2009
MONOLITHE
Au sommet d'un escalier sans fin, dans un écrin bleu essuyé, rouge délavé et azur, serti de vide, se dresse le Monolithe, tel un monument brut en suspension.
BRISURE
Traversé d'un trait par une brisure, telle une faille sansdébut, une faille sans fin, des points de suture accompagnent l'intime du Monolithe
AGALMA
Obscurité du désir : du sommet de l'escalier, au seuil de la demeure de Suzette et de Rudy Ricciotti , le Monolithe fait énigme et interroge le visiteur sur la méconnaissance de cet objet...
VACILLEMENT
Le Monolithe fait trou, Le Monolithe fait seuil. Une pression légère : le Monolithe pivote et livre passage vers la demeure tout en obstruant l'accès. Avec le Monolithe, GOULVEN marque au feu de son travail le secret de la Passion dans son oscillation entre Eros et la Thanatos.
Vincent BRUNEAU
LA RUPTURE DE LA CONTINUITE.
De chaque coté de la ligne brisée, de la rupture, de la rupta, de la frontière, de la route, deux univers semblables et opposés surgissent, deux vies, deux sexes, deux contrées, qui tendent à se réunir, créent et procréent, se désirent et se détestent, s'aiment et se haïssent.
LA CONTINUITE DE LA RUPTURE.
Orient occident Bosphore muraille de chine. Afrique Europe chaîne des Pyrénées. Homme femme. Peu à peu la frontière s'es tompe. Bonheur douceur quiétude, puis, ennui décadence avachissement tristesse dépression, jusqu'à la suivante et régénératrice rupture.
Goulven 2009
MONOLITHE
Au sommet d'un escalier sans fin, dans un écrin bleu essuyé, rouge délavé et azur, serti de vide, se dresse le Monolithe, tel un monument brut en suspension.
BRISURE
Traversé d'un trait par une brisure, telle une faille sansdébut, une faille sans fin, des points de suture accompagnent l'intime du Monolithe
AGALMA
Obscurité du désir : du sommet de l'escalier, au seuil de la demeure de Suzette et de Rudy Ricciotti , le Monolithe fait énigme et interroge le visiteur sur la méconnaissance de cet objet...
VACILLEMENT
Le Monolithe fait trou, Le Monolithe fait seuil. Une pression légère : le Monolithe pivote et livre passage vers la demeure tout en obstruant l'accès. Avec le Monolithe, GOULVEN marque au feu de son travail le secret de la Passion dans son oscillation entre Eros et la Thanatos.
Vincent BRUNEAU
lundi 12 janvier 2009
jeudi 8 janvier 2009
Heureusement que veille Sainte Russie
On ne dit jamais ce que l’on pense, on dit ce qui va permettre à la relation que l’on instaure par la conversation avec un quidam, d’aller dans le sens que l’on souhaite. On souhaite construire ou détruire, attirer ou repousser, caresser ou piquer, mettre en valeur ou mettre plus bas que terre, faire évoluer ou faire régresser……….
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